Le karaté s'est développé à l'origine dans l'archipel d'Okinawa. La proximité géographique d'Okinawa avec la Chine explique l'influence des arts plus anciens (Quanfa) sur le karaté, les contacts étant fréquents entre citoyens chinois et habitants d'Okinawa. Le diagramme ci-contre situe dans le temps quelques-uns des grand maîtres, et leur influence sur O'Sensei Richard Kim.
Ces influences ont été multiples, c'est pourquoi le Kokusai Butokukai intègre des techniques et kata d'autres style, tel le Goju ryu. D'autres arts martiaux étudiés par O'Sensei, comme le judo, le Aiki ju-jitsu et le Pa Kua représentent une part très importante de son héritage, et façonnent l'enseignement de notre école.
Ces influences ont été multiples, c'est pourquoi le Kokusai Butokukai intègre des techniques et kata d'autres style, tel le Goju ryu. D'autres arts martiaux étudiés par O'Sensei, comme le judo, le Aiki ju-jitsu et le Pa Kua représentent une part très importante de son héritage, et façonnent l'enseignement de notre école.
少林寺流
(shorinji-ryu)
Le terme Shorinji se traduit par "l'ordre du temple". Shorin étant évocateur du nom Shaolin, célèbre temple de Chine. Le karaté Shorinji-ryu est caractèrisé par des positions et mouvements non-linéaires, privilégiant le cercle par rapport à la ligne.
On peut se représenter ce type de mouvement en observant le kanji (symbole) du riz, très présent au Japon. Les angles de 45 degrés montrent les vecteurs de déplacement possibles pour éviter ou rediriger une attaque, et constituent l'un des fondements du style Shorinji-ryu.
On peut se représenter ce type de mouvement en observant le kanji (symbole) du riz, très présent au Japon. Les angles de 45 degrés montrent les vecteurs de déplacement possibles pour éviter ou rediriger une attaque, et constituent l'un des fondements du style Shorinji-ryu.